Alors que notre rencontre venait de commencer, nous n’avions pas encore parlé de nos fantasmes. Un petit repas avec ses parents a mis du piment dans nos relations.

Ma copine et moi étions dans une relation assez déséquilibrée, je l’aimais à fond mais elle très peu j’étais très collant, bref, pas le genre de relation que je souhaite à quelqu’un actuellement.

Bref pour le sexe ça marchait très bien, mais je ne me découvrais pas trop, on n’annonce pas de suite qu’elle va porter des couches après une fessée suivie d’un lavement, ça l’aurait fait fuir d’entrée.

Alors qu’un jour nous mangions au restaurant avec ses parents, nous parlions de tout et de rien, je parlais principalement avec ma belle-mère puis abordons le sujet des relations entre personnes. On ne peut pas obligatoirement s’entendre avec tout le monde. Sa mère dit qu’elle n’aimait pas son oncle et c’était réciproque. Un jour arrive où pour une raison diverse elle “tire la langue” à son oncle. Elle se retrouve fessée, au coin les mains sur la tête comme ça se pratiquait couramment dans les années 50 – 60. Je ne montre pas trop mon excitation et enchaîne avec d’autres exemples.

Le soir arrivé alors que ses parents étaient repartis, nous commencions par discuter. Mes mains commencent à se balader et lors de notre conversation elle me dit qu’elle avait entendu le bout de conversation avec sa mère et la fessée. Je souris et elle me demande si ça m’excite. La fessée me fait bander comme une âne et lui demande si elle est OK pour en recevoir une.

Elle accepte avec un sourire coquin et après avoir convenu d’un mot de passe pour tout arrêter, elle me demande d’attendre 2 minutes pour qu’elle se prépare.

Une fois revenue je la prends par le bras et l’entraîne dans la chambre, elle râle doucement jouant bien le jeu. Je lui dis qu’elle s’était “fictivement” mal comportée, etc. Je m’assois sur le lit la place en face de moi et lui demande de relever sa jupe et de me montrer sa culotte. Elle commence à gémir, je lui mets une claque sur la cuisse et lui demande de se dépêcher. Elle s’exécute et continue de la sermonner. J’approche mes deux mains de l’élastique de sa culotte et l’attr a p e , je sens qu’elle veut reculer et lui dit de ne pas bouger. Je descends sa culotte à mi-cuisse, celle-ci se retourne restant coincée sur son entre jambe. Je lui demande d’écarter ses cuisses et passe ma main sous sa vulve pour tirer la culotte à ses genoux. Je fini par lui conseiller d’écarter suffisamment ses jambes pour que la culotte reste à ses genoux, ce qu’elle fit rapidement.

Je reste quelques instants sans rien dire à contempler cette magnifique vue.

“Je vois que tu n’es pas bien rasée, il faudra que tu améliores ça”.

“Oui monsieur”.

Puis je me penche sur la culotte blanche en coton et lui fait remarquer qu’elle est bien propre pour une culotte portée toute la journée et qu’elle aille me chercher sa culotte portée aujourd’hui. Elle se tourne et laisse retomber sa jupe, je la reprends et lui place sa jupe dans la ceinture histoire qu’elle ne retombe plus. Elle se dandine jusqu’au fond de la chambre, se penche me montrant sa fente toute humide, prends sa culotte et me la tends. J’adore ce spectacle. Elle se sent humiliée et je passe ma main sous sa vulve sur laquelle je m’attarde un peu. Elle commence à être humide, no comment, je peux continuer.

J’attr a p e sa culotte et regarde s’il y a des traces. Je remarque une trace d’humidité et lui fait remarquer les taches dans le fond. Je la menace de lui faire porter une couche si elle continue à mouiller le fond de sa culotte. Je la fait s’allonger sur ma cuisse gauche, ses jambes de chaque côté pour que je puisse voir son entre jambe.

Je commence doucement, une fesse après l’autre. Je rappelle le mot de passe qu’elle s’empresse de me dire qu’il ne sera pas utile. Alors qu’elle est bien installée. Je la fesse avec des claques bien appuyée laissant une petite couleur rosée sur chaque fesse. Je continue comme cela quelques instants. Puis progressivement j’augmente le rythme. Je sens qu’elle se cale bien sur ma cuisse cherchant à un peu éviter les coups mais cherche aussi à frotter son mont de vénus sur ma cuisse.

Je fais des pauses de temps à autre afin de vérifier l’humidité de sa chatte, il n’y a pas d’ambiguïté, ça mouille bien. J’attr a p e son bras droit et lui place dans le dos pour qu’elle ne puisse pas bouger et j’augmente la fréquence avec des claques bien sonores elle se débat de plus en plus sans pour autant chercher à partir. Elle écarte ses jambes comme des appels à aller explorer sont intimité.

J’attr a p e son bras droit et lui place dans le dos pour qu’elle ne puisse pas bouger et j’augmente la fréquence avec des claques bien sonores elle se débat de plus en plus sans pour autant chercher à partir. Elle écarte ses jambes comme des appels à aller explorer sont intimité.

Ce que je fait de temps à autres en testant l’entrée du vagin. Je titille aussi un peu le clitoris pour donner du piment à notre action. Je suis super excité et continue d’administrer cette fessée. Je marque une pause et lui demande si elle a des boules de geisha. Elle se lève et va les chercher.

Je place deux coussins au milieu du lit et lui demande de s’allonger sur le lit les reins sur les oreillers ses fesses bien en l’air. ce qu’elle fait sans rien dire. Je vais nettoyer les boules puis je reviens. Je prends le temps d’admirer. Son corps allongé sur les coussins est magnifique, ses fesses sorties. D’un mouvement de la main entre ses jambes elle écarte ses cuisses facilitant l’accès à son intimité.

Je place la première boule sur l’entrée du vagin, il est tellement humide qu’il n’est pas nécessaire de lubrifier plus. En l’enfonçant je ressent qu’elle écarte le plus possible ses cuisses. Je continue un peu la fessée tout en maintenant la deuxième boule. “Tu aimes ça non ?”

“Ouuuiii !”

clac

“Comment ?”

“Ouii monsieur !”

Je travaille toujour son vagin en tourant un peu le jouet prêt pour enfoncer la deuxième boule. Je sens du va et viens, active avec son sexe. Je fini par enfoncer la deuxième boule.

Je saisi la culotte négligemment laissée sur le lit, lui dit d’ouvrir sa bouche et lui introduit en lui disant qu’elle n’aurait pas besoin de parler pendant qu’elle aura sa fessée à le ceinture.

Je lisait son plaisir dans son regard. Je défait ma ceinture, la plie en deux et je commence clac, clac, clac. Elle a un petit sursaut à chaque fois et quelques s a n g lots étouffés. Je teste de temps à autre l’humidité de sa chatte, tout va bien, je tire un peu sur la ficelle, les boules sont bien en place. Elle agite ses fesses pour ressentir l’effet des boules et de la ceinture. Ses fesses commencent à prendre une belle couleur rouge.

Les coups restent appuyés et j’observe ses fesses qui se tendent en l’air comme pour en redemander. Au bout d’une vingtaine de coup de ceinture, je lui sors la culotte de la bouche, elle a quelques larmes qui coulent le long de sa joue.

“Tu compteras jusqu’à vingt”

“Oui monsieur”

clac UN

clac DEUX

….

clac HUUUUIT

…

clac QUIIIII .. NZ

…

clac VINGT

“Merci monsieur” répond-t-elle spontanément en pleurant à chaudes larmes.

Je l’attr a p e dans mes bras pour un gros câlin en attendant qu’elle se calme un peu. Elle prends le lubrifiant dans le tiroir de la commode. Me déshabille et me fait allonger sur le lit. Je suis raide comme un piquet, elle commence à sucer mon membre puis le lubrifie.

Ensuite elle se lubrifie son petit trou et en position d’andromaque son anus avale ma bite. A chaque mouvement de ses reins est un paradis, mes mains sur ses fesses brûlantes sur lequel j’enfonce mes doigts. La sensation éprouvée par mon pubis sur lequel vient frotter son clitoris, sa chatte fourrée avec les boules et ce va et viens anal prolongeant mon pénis font un paradis des sens dans lequel elle explose de plaisir suivi par mon éjaculation.

J’ai rarement pris un tel pied !

Nous avons pris une douche et nous sommes repartis vers d’autres aventures…